Le cliché dit bien que l'on ne mange du riz que cantonais chinois.
Le verre à pied est quand même d'un usage plus commode avec la main.
Mais Dieu avait-il créé la poussière avant que la première des choses ne se désagrège ?
Eudes Bigniou, fâché par la chute constante de son nombre de lecteurs (celui-ci ayant été divisé par deux à la mort de ce brave Rex), a publié un encart sur son blog, d'un clavier trempé dans le vitriol : trop, c'est trop ! Puisque je ne plais pas aux lecteurs, qu'ils me disent quel roman ils aimeraient lire ! Qu'ils me donnent des idées s'ils sont si malins ! (Pour ma part, et s'il m'est permis de m'exprimer dans cette affaire, je ne vois là qu'une basse manoeuvre destinée à trouver enfin la matière pour écrire le roman après lequel M. Bigniou court depuis tant d'années.)
Si abondance de biens ne nuit pas
Peux-tu s'il te plaît m'expliquer Papa
Pourquoi l'obèse
Jamais ne baise
La tour Eiffel intéressante.
Je suis pour le don d'organes, mais je n'ai jamais été très doué.
Aujourd'hui, avec mon cousin Eliott, nous publions sur Vents contraires, la revue du théâtre du Rond-point, une bande dessinée de quelques cases. Votre soutien sera notre seul alibi pour récidiver.
Au moins grâce à la femme de Thierry Gaubert, on a compris pourquoi la justice était symbolisée par une balance.
Qui n'a jamais eu sinon le projet, du moins le désir d'écrire un texte de mille pages à propos d'une seule seconde de sa vie, se fait à mon sens une fausse idée de l'écriture.
D'après ce que j'ai compris, je serais arrivé deuxième aux Golden Blog Awards dans la catégorie Microblogging. Je remercie tous ceux qui ont voté pour Humoétique, et vous dis à l'année prochaine pour la troisième édition de l'événement.
Tapotant la poche retournée dans laquelle un mouchoir a vécu, je fais tomber des pellicules de pantalon.
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En librairie le 27 mars.
