- Pourquoi écrivez-vous ?
- Vous verriez, si vous aviez quelque chose à dire.
- Pourquoi écrivez-vous ?
- Vous verriez, si vous aviez quelque chose à dire.
Il rassembla tous ses relevés de compte. Pas de doute, le fait d'être dans le rouge depuis plusieurs années lui assurait l'autorité nécessaire pour postuler comme professeur d'université au département d'oenologie.
Ce fut lorsque mon médecin traitant me prescrivit des pastilles à la menthe pour une douleur mauvaise à l'aine que je compris qu'il ne m'entendait plus depuis plusieurs séances.
À l'impossible l'Ulm est tenue.
Vous me reprochez de ne pas être un bon vivant. Attendez de voir ce que je donne en mort.
Fâché le chamelon fronça ses bosses.
Le voleur de kiwis s'enfuyait dans sa berline. D'un geste ample, Eudes Bigniou, apprenti gendarme (la littérature ne nourrissant pas son homme, comme chacun sait), posa sur le toit de la voiture banalisée un giraphon, sous le regard réprobateur du sergent-chef à qui il avait tenté jusqu'à ce jour de dissimuler sa dyslexie.
Or ce blog prône de partout le paradoxe puisqu'il achalande le sumo étique.
Attention, ça va darder ! dit Maman guêpe aux gosses indociles.
- Pour moi un vrai ami, ça doit toujours te contredire.
- C'est vrai. Adieu.